FIMEM (MOVIMENTO DI COOPERAZIONE EDUCATIVA)
Come Movimento di operazione educativa siamo felici del conferimento del premio Nobel per la pace a due personalità, Malala e Satyarthi, che rappresentano una speranza per il futuro del mondo. Due personalità impegnate nei diritti dell’infanzia e dei giovani in ambito educativo e di protezione dallo sfruttamento. Il mondo da oggi è più consapevole che molto del benessere delle nostre case, delle nostre situazioni, del nostro svago, è debitore del soffocamento e della repressione di tali diritti.
Malala in particolare ha analizzato lucidamente l’educazione come forza per cambiare la penosa situazione delle bambine e delle ragazze e per renderle più libere in tanti paesi del mondo. Bambine seviziate, abusate, schiave, sequestrate, offerte a 11 anni ( è notizia di oggi) a mariti mai visti prima. Bambini, bambine, ragazzi, ragazze privati della loro età per lavorare. Una volta di più dalla nostra parte del mondo non possiamo dire ‘non sapevamo’. Lavoro forzato, scuola negata, sono meccanismi feroci legati a una visione antropocentrica e proprietaria del mondo e delle vite, in particolare di donne, bambine e ragazze. Ben venga il Nobel se ad esso fanno seguito azioni concrete dei governi e degli organismi internazionali. E la nostra opera educativa quotidiana per ‘mettere il sud del mondo nella testa del nord’.
La FIMEM ha appena pubblicato il libro ‘Non dobbiamo tacere’ dedicato alla tutela di bambini e giovani dalla violenza, dallo sfruttamento precoce, dalla negazione dei diritti più elementari.
Segreteria nazionale MCE
FIMEM (MOVIMENTO DI COOPERAZIONE EDUCATIVA)
En tant que mouvement éducatif, nous sommes heureux pour l'attribution du prix Nobel de la paix à deux personnalités, Malala et Satyarthi, qui représentent un espoir pour l'avenir du monde. Deux personnalités impliquées dans les droits des enfants et des jeunes à l'éducation et à la protection contre l'exploitation. Le monde dés aujourd'hui est plus conscient du fait que le bien-être de nos maisons, de nos situations, de nos loisirs, est debiteur à l'étouffement et à la répression de ces droits.
Malala en particulier, a lucidement analysé l'éducation comme une force pour changer la situation des filles et des jeunes femmes et les rendre plus libres dans de nombreux pays du monde. Filles torturées, maltraitées, réduites en esclavage, enlevées, offertes à l’age d’onze années ( c’est une des nouvelles d’ aujourd'hui) à des maris jamais vus auparavant. Enfants, filles, garçons, privés de leur âge pour les faire travailler. Une fois de plus dans notre partie du monde, nous ne pouvons pas dire « on ne savait pas». Le travail forcé, l'école niée, sont des mécanismes violents liés à une vision anthropocentrique et propriétaire du monde et de la vie , en particulier des femmes, ds garçons et ds filles. C’est bienvenu le prix Nobel s’il sera suivi par des actions concrètes des gouvernements et des organisations internationales. Et de notre travail éducatif quotidien visé à «mettre dans les têtes du nord du monde les conditions de vie de l'hémisphère sud ».
La FIMEM vient de publier le livre «Ne pas se taire" dédié à la protection des enfants et des jeunes contre la violence, l'exploitation, la négation des droits les plus élémentaires.
Premio Nobel de la Paz
Como movimiento educativo, estamos felices por la concesión del Premio Nobel de paz a dos personalidades, Malala y Satyarthi, que representa una esperanza para el futuro del mundo. Dos personalidades involucradas en la defensa de los derechos de niñas, niños y jóvenes a la educación y a la protección contra la explotación. El mundo de hoy es consciente de que el bienestar de nuestras casas, nuestra situación, nuestro ocio, es causante de la asfixia y la represión de esos derechos.
En particular, Malala analizó lúcidamente la educación como una fuerza para cambiar la situación de las niñas y mujeres jóvenes para hacerlas más libre en muchos países del mundo. Chicas torturadas, maltratadas, esclavizadas y secuestradas, ofrecidas a la edad de once años (es una de las noticias de hoy) a maridos que nunca habían visto antes.
Niños, chicas, chicos, privados de lo que es propio de su edad para hacerlos trabajar. Una vez más, en nuestro continente, no podemos decir "no sabíamos". El trabajo forzado, la escuela negada, son mecanismos violentos ligados a una visión antropocéntrica de quienes se creen propietario del mundo y de la vida, en particular de las mujeres, de chicos y de chicas. Es bienvenido el premio Nobel si va seguido por acciones concretas de los gobiernos y de los organismos internacionales. Y de nuestro trabajo educativo diario referido a "meter en las cabezas del norte del mundo las condiciones de vida del hemisferio sur".
La FIMEM acaba de publicar el libro "No debemos callar" dedicado a la protección de la infancia y de la juventud contra la violencia, la explotación y la negación de los derechos más elementales.
félicitations
Bonsoir chers éducateurs et éducatrices Freinet,
Nous saluons les efforts effectués pour avoir publié un livre sur le droit des enfants. Le titre en dit plus long" NE PAS SE TAIRE". Ne pas se taire sur tout ce qui touchent à la vie des enfants voire leur éducation. Or l'éducation est le seul moyen par lequel, nous pouvons contribuer à la sauvegarde d'un monde meilleur pour les générations futur. Il serait donc capital d'axer l'éducation à la démocratie participative pour des actions citoyennes dans la cité. Ceci est une invite à participer à la RIDEF 2016 pour approfondir ses compétences sur le thème de la prochaine" L'éducation à la citoyenneté pour une démocratie participative"
Toussaint EHOUI, membre de l'Association Béninoise de l'Ecole Moderne (ABEM)