Une fois encore la barbarie a sévi. Le Front Djiadhiste a laissé ses empreintes indélébiles par le massacre perpétré à Garissa au Kenya. Après une dure journée de travail, cent quarante-sept étudiants universitaires, ont été surpris dans leur sommeil et ont été sauvagement massacrés en fonction de leur appartenance religieuse.
L’espoir de parents, de familles, d’une nation entière a été ainsi anéanti et l’avenir des sociétés mis à mal.
La FIMEM condamne avec la plus grande énergie cette horreur, cette barbarie, ce terrorisme soi-disant religieux qui mettent en état de choc et de désolation le Kenya, le monde scolaire et universitaire voire l’humanité toute entière.
La FIMEM déplore également ce mutisme international des grandes puissances, des gouvernants africains surtout et des ONG défenseurs des Droits de l’Homme.
Ne disait-on pas que « Les meilleurs peuples sont ceux qui ont les meilleures écoles, s’ils ne le sont pas aujourd’hui, ils le seront demain »
Le CA de la FIMEM avril 2015