Juan Fernandez

Notre grande Assemblée AG3.
A propos de notre grande Assemblée de la RIDEF au Canada.
Nous devons nous féliciter de notre grand effort collectif, merci à toutes et tous, à souligner la volonté démocratique et participative de notre mouvement.
Cela dit, quelques critiques coopératives pour s’améliorer.
Je pense qu’une réflexion s’impose pour ne pas oublier quelques aspects de notre dernière Assemblée en analysant notre travail et nos interventions, les côtés positifs ou négatifs du déroulement de l’Assemblée générale et si possible améliorer notre façon de progresser.
Quels aspects sont essentiels et ne peuvent se perdre, rester sous silence ? Pourquoi est-il nécessaire avoir en tête de l’importance que l’Assemblée Générale doit se conclure de la meilleure des façons ? Quand vaut-il mieux se taire même si nous estimons que notre intervention est intéressante ? Quand et pourquoi renoncer à une motion (Andy) ? Comment un solo de saxophone peut être fondamental (Bux, Alfredo) ? Comment une intervention pertinente, améliore et donne du sens (Teresita) ? Comment quelqu’un nous fait sentir fier (Glaucia) ? Comment une bonne modération peut faire ce qui paraissait impossible, ou comment une contribution écrite peut nous éclairer un peu mieux (Marco) ? Tant de moments mémorables.
Tant de choses que dans nos têtes nous espérions et qui se sont passées. C’est une réalité pour quelques temps, c’est récent. La finalité de cette réflexion, rapide, est d’inciter à écrire, à contribuer.
Pour ma part, je m’y engage (en plus de rédiger le compte rendu…). Merci à toutes et à tous.
Est-il important de créer une tendance dans le mouvement ? (Questions graves de conséquences…) À quel point l’Assemblée virtuelle peut prendre des décisions ? Faut-il beaucoup de points à l’ordre du jour ? Faut-il défendre une opinion si longuement qu’à la fin il n’y a pas le temps de voter ? Objectif du mouvement : démocratie (douter ?)
Ils ne sont pas assez en lutte, peut-on entendre, et en plus ils sont autoritaires.
Personnellement, je pense qu’il faut faire l’effort de ne pas monopoliser la parole, chercher une solution a un problème conflictuel, chacun y mettant du sien.
À quel point le modérateur doit-il ne pas donner la parole s’il pense que cela empêche le bon déroulement de l’Assemblée (demandes d’interventions répétitives occupant le temps) ?
Trop de participants disaient certains, nous étions nombreux avec cinq personnes par délégation, la solution est de s’auto-réguler nombreux ou pas, presque 100 personnes sur Facebook, un record…
De tensions, affirmer que l’Assemblée générale est illégitime ? Entre plus ou moins stricts pour compter tous les votes même si cela est plus long que prévu ? À souligner la joie, la tendresse (dans l’autre salle pendant le vote). Savoir retirer une motion par manque de temps ?
Faire une intervention positive, qui enthousiasme, croire vraiment en la démocratie, avoir à l’esprit que les autres sont comme toi (freinetiste, humains), ayant le même objectif.
Essayer de briller, les égos ? (Questions très humaines). Avoir confiance en soi pour prendre la parole.
Il est évident que chacun travaille à sa façon. L’avantage de Zoom, nous pouvons communiquer toutes et tous, le nombre élevé de participantes, des règles pour la prise de parole, existence d’un chat parallèle, pas besoin de voyager. Cela à dynamiser, un outil intéressant malgré les pannes, la froideur, les traductions, les long silences, etc…
Préparer au préalable les documents. Participer mandaté par son groupe. À quel point une personne peut décider sans consulter son groupe ? À quel point cela est toujours possible ?
Bibliographie : « Pido la palabra. Valor educativo de la Asamblea en la escuela”. Edit: MCEP.
Juan MCEP.

09/09/20 – 12:02 Permalink
The comment language code.

Texte brut

  • No HTML tags allowed.
  • Lines and paragraphs break automatically.
  • Web page addresses and email addresses turn into links automatically.